C’est en 2015 que Barbara Boyer pose ses valises à Montréal, faisant du même coup son entrée chez EQlib. Originaire du Puy-en-Velay en France, elle travaille d’abord dans la fonction publique au terme de ses études dans le domaine du marketing et des communications. C’est en répondant à une offre de stage de l’autre côté de l’océan qu’elle met le pied dans une nouvelle vie et renoue avec son domaine de formation. Le Québec et EQlib l’accueillent à bras ouverts. Sept ans plus tard, elle y est toujours. 

Le domaine de la publicité : comme à la télé

C’est en regardant les émissions Madame est servie et Ma sorcière bien-aimée à la télévision que s’éveille la fascination pour le milieu de la publicité de la jeune Barbara. Les personnages d’Angela et de Jean-Pierre évoluent chacun dans une agence de publicité, et l’effervescence qui semble se dégager de leur milieu de travail l’attire. « Les séries américaines m’ont donné envie de créer des publicités, d’écrire des slogans, ce genre de choses. En le voyant à l’écran, je me disais “je veux faire ça” ». 

Si ses études vont dans le sens de sa passion, ce n’est qu’en sol québécois que sa voie se trace véritablement. Arrivée chez EQlib pour un stage de six mois, l’équipe l’adopte rapidement et devient pour elle une deuxième famille. Ne souhaitant pas la voir quitter ses rangs, l’entreprise crée un poste sur mesure pour la nouvelle venue et lui confie les rênes de son volet marketing et communications.

Infolettres, publicité, création de contenu : un travail créatif et diversifié

 Le quotidien de Barbara est constitué d’une multitude de tâches variées et stimulantes. Que ce soit au niveau des communications avec la clientèle (infolettres, réseaux sociaux), de la publicité (gestion et diffusion des promotions, dépliants, affiches) ou de la visibilité de l’entreprise (site web, vidéos, événements), elle met son imagination à profit.

« Mon poste me permet de trouver toutes sortes d’idées pour faire rayonner l’entreprise, et j’ai toute la latitude nécessaire pour monter des projets qui sortent un peu du cadre conventionnel ou déjà établi. »

Ses principaux défis ? Trouver ce qui distingue l’image de l’entreprise de ce qui se fait ailleurs. « J’essaie de trouver comment on peut se démarquer en étant originales et proches de nos clientes. Il y a toujours de nouveaux outils technologiques qui sortent, mon travail est de les comprendre et de m’y adapter. La façon dont les gens gèrent leurs réseaux sociaux évolue, et on doit pouvoir les suivre. » 

En ce sens, la pandémie a permis d’accélérer les choses. « Ça a été tout un défi au niveau des communications, pour maintenir le lien entre nous et les clientes, mais aussi entre les membres de l’équipe. Il fallait être réactif et original. » 

Des conseils filmés mettant en vedette des membres de l’équipe figuraient déjà dans les projets d’EQlib mais n’avaient pas encore été réalisés, faute de temps. La pandémie les a remis en tête de liste au niveau des priorités. « Ça a simplement précipité un peu les choses. Ces vidéos sont là pour rester. Les filles ont embarqué de bon cœur dans le projet. Elles sont très ouvertes et leurs compétences m’impressionnent énormément. C’est fou les connaissances qu’elles ont, elles maîtrisent totalement leur sujet. Pour les communications, c’est du bonbon de travailler avec elles ! »

Un institut de beauté et d’esthétique où l’on se sent chez soi

Barbara compare l’ambiance qui règne au sein du centre de beauté avec celle d’une véritable famille. « Chacun a son caractère et apporte sa couleur personnelle. C’est très enrichissant, et tout le monde va dans la même direction. On a beaucoup de chance dans l’entreprise de travailler dans une ambiance si agréable. » Chaque personne a son rôle précis, complémentaire aux autres, et la confiance entre chaque membre de l’équipe est absolue. « J’ai beaucoup de liberté pour essayer de nouvelles choses et sortir des sentiers battus. »

Les clientes font également partie de la grande famille EQlib. « Comme tous les services se trouvent au même endroit, elles naviguent d’une professionnelle à l’autre, tout le monde les connaît et les appelle par leur prénom. Ça crée un lien fort. » 

Si l’idée de travailler dans un centre d’esthétique ne lui avait jamais effleuré l’esprit auparavant, le hasard fait bien les choses. « Ça me permet d’apprendre plein de choses ! Comme femme, c’est vraiment super d’atterrir dans un endroit comme celui-là. »

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